http://youtu.be/-GNCImjiyKU
As I wake
In the darkness
And I look around
There is no sound
It's so tranquil
It's so calm like you
But now I hear a noise
Is there any way to out of this nightmare
I'm alone now
And you're laughing at me
But I take life
In a way that you could never see
So if you're leaving
You better let me know
Cause I've already started my plan
And I'm never gonna let you go!
I've lived on the dark side of the moon
And I've been to the heart of the sun
I've had go to bed with many ladies
And I've killed many men
Before my sixteenth year was done
So you be forewarned
I'm coming after you
When I catch you
I'll never
I'll never let you go - no!
Some say I'm an advocate of Lucifer
Some say I'm a child of god - yes they do
Some people think I've got the nine lives of a cat
And others say I'm filthy as a dog
So you be forewarned
I'm coming after you
When I catch you
I'll never
I'll never let you go - alright
So you be forewarned
I'm coming after you
When I catch you
I'll never
I'll never let you go - alright
samedi 29 décembre 2012
latence
Chaque chose existant si fort que j'ai parfois du mal à tout entendre
faire place à la saine panique ou laisser choir nos énergies
dans le maelström continu de nos émotions
à fleurs de peaux
prendre néanmoins le temps de goûter à nos échecs
laisser venir les douleurs et l'usure
comme raspoutine ne meurt que sous l'hypothermie des rivières de sibérie
il faut sans cesse survivre et renaître
vivre à travers le mal
et comme le râles glacé de nos éveils brumeux
reprendre les chemins endoloris
ressasser les vieilles plaies
aux opioïdes chaleureux
faire place à la saine panique ou laisser choir nos énergies
dans le maelström continu de nos émotions
à fleurs de peaux
prendre néanmoins le temps de goûter à nos échecs
laisser venir les douleurs et l'usure
comme raspoutine ne meurt que sous l'hypothermie des rivières de sibérie
il faut sans cesse survivre et renaître
vivre à travers le mal
et comme le râles glacé de nos éveils brumeux
reprendre les chemins endoloris
ressasser les vieilles plaies
aux opioïdes chaleureux
Nausée
La vie en suspend,
comme la goutte d'eau qui menace de tomber
moments de latence
aux relents de tramadol
camisole chimique
et coeur esseulé
La tête gondole,
dans tout les sens
Dehors le soleil brille,
laissant à travers la rosée sur la vitre
comme une épaisse brume voilée
sous les vapeurs du pur malt
pas de fumé sans feu
pas de famille sans eux
pas d'éclaircie sans jour de peine
aux amours illusoires
ô chantier des espoirs
comme la goutte d'eau qui menace de tomber
moments de latence
aux relents de tramadol
camisole chimique
et coeur esseulé
La tête gondole,
dans tout les sens
Dehors le soleil brille,
laissant à travers la rosée sur la vitre
comme une épaisse brume voilée
sous les vapeurs du pur malt
pas de fumé sans feu
pas de famille sans eux
pas d'éclaircie sans jour de peine
aux amours illusoires
ô chantier des espoirs
samedi 22 décembre 2012
Une éviction de plus.
Aujourd'hui à Bordeaux les pouvoirs publiques nous ont une fois de plus démontrés au combien la sacrosainte impunité policière est de rigueur dans le marasme abjecte du paysage politique frônçais.
Nous étions une vingtaine en début d'après-midi à rejoindre une dizaine de camarades (certains du DAL33, des sympathisants de la lutte et camarades militants) qui avait ouvert il y'à de ça cinq jours un nouveau squat voué à loger des personnes en mal de logement. Jusqu'à ce que les flics ce pointent. Sans somations ils ce sont ameutés à l'entrer du squat, le commissaire a tenté de s'introduire dans les lieux, nous avons opposé une résistance et tenté de refermer la porte lorsqu'il a ordonné à ces troupes de forcer l'entrée en nous gazant. Il y'avait de la sécurité publique, des nationaux et des bacqueux. Pas moins de 7 fourgons était à ce moment entrain de barrer la route. Il nous ont évacués avec force, certains d'entre nous ont était lâchement frappé et bousculé. Plusieurs d'entre nous ce sont mêmes vus pris à parti en dehors du groupement que nous formions. Une nouvelles fois ils ce sont senti au dessus de la loi en expulsant ainsi nos camarades sans la moindre attestation des autorité publiques. Une nouvelle fois la propriété de l'état s'est vu farouchement défendue par sa milice et une nouvelle fois certains d'entre nous devrons peiner à trouver un endroit décent.
Force est de constater qu'après les évènements de la zad les polices de l'état sont sur les pied de guerre et que du côté des militants des passerelles sont bel et bien entrain de ce former. Mais ce qui est à déplorer aujourd'hui c'est que nous n'étions malheureusement pas assez nombreux. C'est pourquoi je permet de pointer du doigt les individus qui sachant que l'action aurait lieu n'ont pas offert de leur précieux temps pour renforcer les troupes. Il est plus qu'évident que l'unité et le nombre sont de loin deux de nos meilleures armes. Il faut que nous nous mobilisions avec vigueur pour manifester partout et à chaque fois que nous avons la possibilité.
A présent nous tirons de nouvelles leçons et la prochaine fois sera encore plus forte. Nos esprits encore plus convaincus et notre ténacité d'autant plus affûtée.
ZAD partout, ZAD pour tous!
mercredi 19 décembre 2012
niouzzzz...
Je met en ligne un blog du groupe.... Ainsi ça permet de suivre les infos, de prendre contact pour les futurs concerts, eccaetera....
http://degradedandtheoppression.blogspot.fr/
On reprend les repet' ensemble aujourd'hui... Janvier sera rude, puis on enchaînera un max de dates...
see you!
http://degradedandtheoppression.blogspot.fr/
On reprend les repet' ensemble aujourd'hui... Janvier sera rude, puis on enchaînera un max de dates...
see you!
vendredi 7 décembre 2012
Can't smell the coffee
http://www.youtube.com/watch?v=i1u9ecH1lHg&list=AL94UKMTqg-9Cd5vmSyJWpHruwhO3jHxQN&index=11
ACTION!
Nous étions une petite dizaine ce matin à 10h quand nous nous somme réunis au miroir d’eau (haut-lieu du tourisme bordelais). Aussitôt nous partons en reconnaissance par petits groupes. Certains aux abords du nouveau pont levant érigé par Vinci (encore un projet très utile...), d’autres au niveau du potentiel bateau qui accueillera aujourd’hui les actionnaires de Vinci qui partent à la découverte des ponts bordelais, joyeuse sauterie qui accueillerait, dit-on, pas loin de 120 personnes en son bord.
Le temps avançant nous nous retrouvons bientôt rejoins pas d’autres camarades dont certains auront réussi à glaner des informations précieuses quand à l’embarcation et le lieu de rendez-vous. Après une courte attente et un repas frugale nous partons à l’exact opposé de notre précédent rendez-vous, soit, de l’autre côté de l’eau.
La-bas tout est calme pour le moment. Nous nous regroupons et recoupons les différentes informations. Rejoins par d’autres camarades et après un instants à scruter les alentours nous sommes repérés par les keufs (que voulez-vous, une bande de pro-zad cagoulés et banderoles en mains c’est repérable...). Aussitôt nous rejoignons les copains aux abords du ponton d’accueil. Et comme par magie les bas-bleus ce mettent à pousser comme
A) des champignons en automne ou
Après les quelques échanges de rigueur avec les forces de l’ordre et le démantèlement d’une terrible enquête policière visant à connaitre qui est notre chef (d’ailleurs on le cherche encore...). Le ton monte et bientôt les premiers slogans tombent au rythme des pétards Nous occupons l’accès au bateau et les bacqueux aurons tôt fait de s’approcher en nombre, ce reluquant le flash-ball en commençant à nous chauffer, vicelards les petits... De l’autre côté certains keufs jettent nos récoltes de fruits pourris qui devait initialement être jetés et finir dans la sale gueule de... nos camarades affamé-es évidemment. Certains d’entre nous auront par ailleurs malheureusement fait choir des litres peintures sur le sol... oups !
Pas de blessé de notre coté, mais une odeur me rappelle il y’à quelques temps en foret de Rohanne, oui, c’est bien ça, le gaz lacrymogène...
Au moins, et nous pouvons en être fière-es, le message est passé. La résistance fut courte et intense mais nos avis restent bien évidemment inchangés quand au sort que nous réservons à Vinci et son monde. Et cette résistance demeure impartiale et objective, et vous n’avez pas finis d’ôter les tics qui pullulent sur votre vilains dos d’oligarque monsieur Xavier Huillard et comme toujours, et d’autant plus depuis que vous vous en prenez à nos soeurs et nos frères zadistes, le vent de la colère souffle. Vous vous êtes entichés d’un bien mauvais abscés, il semblerait qu’il faille tout détruire...
Une/Un bordelais-e en lutte.
dimanche 2 décembre 2012
Longue vie
La chaleur des sourires
parsemant nos têtes molles,
Relents des mois passés sur la route,
et comme l'hydre qui ne meure jamais
et nous renvois sans cesse
sur le doux chemin
de l'insurrection.
parsemant nos têtes molles,
Relents des mois passés sur la route,
et comme l'hydre qui ne meure jamais
et nous renvois sans cesse
sur le doux chemin
de l'insurrection.
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