mardi 26 février 2013

On s'imagine en chine..


L'autre jour je suis allé à la plage, il y'avait beaucoup de vent, il
faisait froid, la mer charriait des détritus aux provenances obscures, les
badauds profitaient de leur misérable dimanche de travailleurs, à des
lieux d'imaginer combien nos vies n'ont rien à s'envier au final. Chacun
trouve son refuge, chacun suit ses pistes et nous rencontrons tous des
difficultés.
Je crois en mes convictions, elle me soutiennent un peu, elle me donne du
vocabulaire et me font rencontrer des gens et des lieux agréables. Mais je
ne peut m’empêcher de penser qu'une même authenticité violente nous réunis
tous. Un contexte moderne. Et si l'on observe nos cosmes du haut d'un
microscope je pense qu'indéniablement la vie suit elle aussi son chemin,
et comme nos globules, nos bactéries, nos particules nous le prouves; nous
sommes nous même la particule d'une grosse machine. Nous sommes tous
soumis au même lois physiques et chimiques. Dans ces microcosmes il y'à
des lois qui s'autosuffises, je m'explique, il y'à des éléments qui sont
communs à tout un chacun, qui ne sont ni profondément modifiables, ni
profondément perceptible, qui ne sont ni égaux ni dominants car victimes
de leurs propres élans créateurs. Et je veut bien sur parler des
sentiments. Hors ces sentiments, bien cachés dans les recoins de nos
têtes, nous font parfois parvenir des signaux que nous ne sommes même pas
capables de comprendre. L'automédication prend du temps.

vendredi 15 février 2013

jeudi 7 février 2013

Vivre libre comme des loups

En écoutant ce War machine repris par Bad lucks rides on wheels je m'auto-régénère en énergie haineuse et constructrice
En arpentant les ruelles de ces villes mises à dispositions des zombies je rempli l'espace nécessaire à nos petites têtes gondolantes
En embrayant le pied de la biche dans l'embrasure de vos masures je m'assure que je suis bien le seul maître à bord
En croisant le regard de mes congénères je ressent le tressaillement intempestif de nos artères sur nos peaux tannées
En te regardant, je comprend et je ressent au combien l'amour ce donne à bras le corps et ô combien la rage destructrice s'auto-canalyse
En observant que grâce à notre soutiens mutuel et notre amitié les uns envers les autres nous déplaçons des montagnes

Je commence à comprendre qu'il n'y à ni héros , ni martyrs mais bien que des loups, une meute de loups, sages et discrets mais avide et affamés

Tapies dans l'ombre de votre flegme nous nous immisçons à pas de loups  et reprenons peu à peu le contrôle de nos vies

Longue vies aux chiens enragés mués en loups savants