L'autre jour je suis allé à la plage, il y'avait beaucoup de vent, il faisait froid, la mer charriait des détritus aux provenances obscures, les badauds profitaient de leur misérable dimanche de travailleurs, à des lieux d'imaginer combien nos vies n'ont rien à s'envier au final. Chacun trouve son refuge, chacun suit ses pistes et nous rencontrons tous des difficultés. Je crois en mes convictions, elle me soutiennent un peu, elle me donne du vocabulaire et me font rencontrer des gens et des lieux agréables. Mais je ne peut m’empêcher de penser qu'une même authenticité violente nous réunis tous. Un contexte moderne. Et si l'on observe nos cosmes du haut d'un microscope je pense qu'indéniablement la vie suit elle aussi son chemin, et comme nos globules, nos bactéries, nos particules nous le prouves; nous sommes nous même la particule d'une grosse machine. Nous sommes tous soumis au même lois physiques et chimiques. Dans ces microcosmes il y'à des lois qui s'autosuffises, je m'explique, il y'à des éléments qui sont communs à tout un chacun, qui ne sont ni profondément modifiables, ni profondément perceptible, qui ne sont ni égaux ni dominants car victimes de leurs propres élans créateurs. Et je veut bien sur parler des sentiments. Hors ces sentiments, bien cachés dans les recoins de nos têtes, nous font parfois parvenir des signaux que nous ne sommes même pas capables de comprendre. L'automédication prend du temps.
mardi 26 février 2013
On s'imagine en chine..
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