Voilà la première partie d'une brochure que je réalise sur le thème de la famille, je tente d'y faire un découpage chirurgicale de tout ce que évoque chez moi le rôle de chacuns au sein du foyer. A la vitesse à laquelle j'écris cette brochure et ne verra pas le jour avant un certains temps, donc autant vers vivre un peu les mots... La famille. La famille est à l'être humain sociabilisé occidental ce que la gravité est à l’apesanteur dans l'esprit fermer et "réaliste" de l'être conditionné. Autrement dit, et en prenant l'exemple d'une situation familiale adaptée aux institutions du système; la famille est un perpétuel "rappel à la lois". Elle ce définie par une forme d'oppression que les parents appliques volontairement en instaurant une éducation normalisée, schématisée et introduite par le système. Elle est l'organigramme imposé par le système apposé au foyer. 1)Le pater et le manichéen: (je précise que le ton emprunté et bien de l'ironie hein!) On peut observer des tendances sexistes, patriarchistes et misogynes dans beaucoup de rassemblement d'ordre familial. Le père a souvent "un travail pénible" et harassant, et son rôle de représentant du foyer avec l’extérieur du foyer, ajouté à sa responsabilité économique lui confère souvent le droit de prendre les décisions et d'ordonner. Cela lui donne aussi le droit à un rôle omniscient passif et paternaliste dans l'esprit de la mère du foyer et de ses enfants (tout du moins ce que je défini vulgairement comme le schéma de base de l'ordre familial érigé dans le système dans lequel je suis né (et donc avec les notions sociales qu'elle mérite) OU exemple à détruire), ainsi on lui préparera son repas, on lui lavera son linge ou encore, on excellera au jeu compétitif de l'éducation schématisée basique (ou école), et cela pour contenté les parents et insidieusement accéder à la paix et la sérénité au sein du foyer. Le père utilise facilement son autorité de patriarche, le "bénéfice" de son expérience le lui permet; et en usant parfois de toute les perfidies tel que le chantage matériel et/ou affectif/émotionnel ou encore par des décisions arbitraires irrévocables ne résultant souvent que de peurs ,de craintes liées à son propre traumatisme. Ainsi chez beaucoup de père (voir de parents au complet) usant du contrôle patriarcal, il y'a la volonté de régler des comptes avec leurs propres échecs, peurs ou craintes.Dans le système patriarcal occidentalisé il y'a la volonté parfois diffuse de la mère et des enfants de ne pas décevoir le père. Bien évidemment je grossi les traits ironiquement, mais à y voir de plus près, que ce soit dans un couple sans embûches, une famille recomposée et parfois même par des parents isolés il y'a une notion de devoir des enfants envers les parents. Sous prétexte d'êtres parents il faut servir l'idéal commun imposé au sein du foyer. Comment peut'on alors envisagé une émancipation individuelle libre ou bien une indépendance totale chez l'enfant quand on prend en compte certains types de comportements oppressifs? En allant du baptême à la notion de filiation chez certains schéma familiaux (ne réunissant pas nécessairement tout les types de schémas oppressifs, il y'a bien une hiérarchie naturelle de l'oppression familiale et donc des niveau de rigueur de ces mêmes types de schémas oppressifs) comment peut-on offrir à un enfant le libre arbitre qui déterminera ses propres choix de vies?
jeudi 4 octobre 2012
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