jeudi 4 octobre 2012


Voilà la première partie d'une brochure que je réalise sur le thème de la famille, je tente d'y faire un découpage chirurgicale de tout ce que évoque chez moi le rôle de chacuns au sein du foyer. A la vitesse à laquelle j'écris cette brochure et ne verra pas le jour avant un certains temps, donc autant vers vivre un peu les mots...



La famille.


La famille est à l'être humain sociabilisé occidental ce que la gravité
est à l’apesanteur dans l'esprit fermer et "réaliste" de l'être
conditionné. Autrement dit, et en prenant l'exemple d'une situation
familiale adaptée aux institutions du système; la famille est un
perpétuel "rappel à la lois". Elle ce définie par une forme d'oppression
que les parents appliques volontairement en instaurant une éducation
normalisée, schématisée et introduite par le système. Elle est
l'organigramme imposé par le système apposé au foyer.

1)Le pater et le manichéen:

            (je précise que le ton emprunté et bien de l'ironie hein!)

On peut observer des tendances sexistes, patriarchistes et misogynes dans
beaucoup de rassemblement d'ordre familial. Le père a souvent "un travail
pénible" et harassant, et son rôle de représentant du foyer avec
l’extérieur du foyer, ajouté à sa responsabilité économique lui confère
souvent le droit de prendre les décisions et d'ordonner. Cela lui donne
aussi le droit à un rôle omniscient passif et paternaliste dans l'esprit
de la mère du foyer et de ses enfants (tout du moins ce que je défini 
vulgairement comme le schéma de base de l'ordre familial érigé dans le
système dans lequel je suis né (et donc avec les notions sociales qu'elle
mérite) OU exemple à détruire), ainsi on lui préparera son repas, on lui
lavera son linge ou encore, on excellera au jeu compétitif de l'éducation
schématisée basique (ou école), et cela pour contenté les parents et
insidieusement accéder à la paix et la sérénité  au sein du foyer. Le père
utilise facilement son autorité de patriarche, le "bénéfice" de son
expérience le lui permet; et en usant parfois de toute les perfidies tel
que le chantage matériel et/ou affectif/émotionnel ou encore par des
décisions arbitraires irrévocables ne résultant souvent que de peurs ,de
craintes liées à son propre traumatisme. Ainsi chez beaucoup de père (voir
de parents au complet) usant du contrôle patriarcal, il y'a la volonté de
régler des comptes avec leurs propres échecs, peurs ou craintes.Dans le
système patriarcal occidentalisé il y'a la volonté parfois diffuse de la
mère et des enfants de ne pas décevoir le père. Bien évidemment je grossi
les traits ironiquement, mais à y voir de plus près, que ce soit dans un
couple sans embûches, une famille recomposée et parfois même par des
parents isolés il y'a une notion de devoir des enfants envers les parents.
Sous prétexte d'êtres parents il faut servir l'idéal commun imposé au sein
du foyer. Comment peut'on alors envisagé une émancipation individuelle
libre ou bien une indépendance totale  chez l'enfant quand on prend en
compte certains types de comportements oppressifs? En allant du baptême à
la notion de filiation chez certains schéma familiaux (ne réunissant pas
nécessairement tout les types de schémas oppressifs, il y'a bien une
hiérarchie naturelle de l'oppression familiale et donc des niveau de
rigueur de ces mêmes types de schémas oppressifs) comment peut-on offrir à
un enfant le libre arbitre qui déterminera ses propres choix de vies?

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